Nombre de messages : 509 Age : 47 Date d'inscription : 19/04/2007
Sujet: Magna Carta Tears of Blood Ven 17 Oct - 19:08
Magna Carta : Tears of Blood sur PS2 est un jeu de rôle dans lequel vous incarnez Calintz dont le village natal a été entièrement anéanti suite à la guerre. Rongé par un ardent désir de vengeance, vous serez, avec Agreian (le commandant des humains) et Reith (une jeune fille amnésique), l'acteur principal d'un terrible conflit contre les Yasons. Combattez avec un système de timing unique et sauvez le monde de sa déchéance.
Superbe est magnifique jeu sur cette console . Un jeu qui par lui meme de fait de sa raretté dans sa version Francaise .... Cliquer pour agrandir
Magna Carta : Tears of Blood Playstation 2 Paru il y a près d'un an et demi au Japon, Magna Carta : Tears Of Blood étalait des cinématiques magnifiques, des teasers somptueux et un bouche à oreille glorifiant ses qualités et sa profondeur. C'est par cet habile stratagème que le jeu de Softmax s'est insinué dans notre esprit, allant jusqu'à nous persuader qu'il était de notre devoir de tout faire pour obtenir un exemplaire de ce soft unique en son genre. Puis, une localisation miraculeuse vint tirer par la manche cette oeuvre promise à un futur radieux. C'est donc devant nos petits yeux que viennent se placer enfin les constituants premiers de ce qui s'apparente à une révolution du RPG. Après un Atelier Iris étonnant et plus qu'agréable, le paysage du jeu de rôle européen semble se diversifier pour le bonheur des RPGistes. Néanmoins cela peut aussi réserver quelques étranges déconvenues... Magna Carta : Tears of Blood
Après une scène d'introduction réalisée avec brio, et n'ayant pas à rougir des légendaires séquences en images de synthèse de Square-Enix ou de Robot, Magna Carta : Tears Of Blood semble nous prévenir d'un certain danger, d'un doute à entretenir. En effet, le morceau musical accompagnant ladite scène, pratiquement aussi déroutant que le Simple and Clean d'Hikaru Utada au début de Kingdom Hearts donne un indice sur les évènements à venir. Baignée dans une ambiance accrocheuse aux architectures complexes et aux paysages bucoliques évoquant parfois Final Fantasy 10, la première heure de jeu est l'une des plus molles et des plus inintéressantes de l'histoire du RPG. Presque autant que celle de Suikoden 4, c'est dire. Déambulant dans des couloirs et dans un village peu propice à la rêverie, vous errez telle une âme en peine à la recherche de la moindre chose à faire. Entre un tutorial long et pénible, des évènements d'ouverture poussifs et clichés, ou encore un ensemble de dialogues sans vie ni grande utilité, vous avez le choix des pistes menant à l'ennui. Heureusement, une lumière viendra éclairer vos pas, si toutefois vous avez réussi à tenir jusque-là. Précisément, le titre débute réellement lors de l'attaque contre le quartier général des Yasons, une race en guerre depuis des années contre les humains. Incarnant Calintz, jeune leader des "Larmes de Sang", un groupe d'élite dépendant de l'armée des hommes, votre première mission dans la peau de cet être charismatique va vous conduire à accompagner l'assaut "final" dirigé vers vos ennemis. Bien entendu, rien ne se passe comme prévu et notre héros se verra finalement forcé à quitter ses compagnons momentanément après un moment de bravoure lui coûtant quasiment la vie. Allant de paire avec la vision d'environnements enfin enchanteurs et vecteurs d'une certaine originalité, cet épisode relance totalement le jeu et offre tardivement un sentiment d'immersion tenace. C'est donc livré à vous-même que vous allez faire la connaissance de Reith, une jeune fille amnésique semblant dissimuler un secret imposant derrière sa naïveté touchante. D'ailleurs, le scénario joue de manière particulièrement intelligente sur ce défaut de mémoire, se servant de cette nouvelle vision pour anéantir la notion de manichéisme mise en place au départ.
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